Les médecines alternatives et traditionnelles: concurrentes ou complémentaires
Remerciements
Sommaire
Table des matières
Introduction
Les médecines dans l’histoire:
Ø Leurs origines
Ø Leurs évolutions parallèles
Médecine occidentale et médecine alternatives (dont les origines sont essentiellement chinoises) sont deux démarches fondamentalement différentes. « En occident, depuis deux ou trois siècles, nous avons imaginé qu’une maladie était le dysfonctionnement d’un mécanisme biologique donné et qu’un médicament avait pour objet de le réparer. A partir de ce principe, nous avons fait des progrès extraordinaires ». Une exigence s’est ajoutée : la pureté du médicament.
C’est l’inverse pour la médecine traditionnelle chinoise qui s’intéresse aux déséquilibres de l’ensemble du corps humain, et vise à rétablir le « qi » (l’équilibre du corps et son énergie vitale). Le traitement est réalisé à partir d’un certain nombre de plantes. On est loin de la pureté exigée dans l’industrie pharmaceutique occidentale. François Guinot (chimiste, président de l’Académie des Technologies) précise : « c’est une démarche empirique. Mais ça ne veut pas dire qu’elle ne soit pas scientifique ».
Avis général et scientifique :
Ø Leurs intérêts réels
Ø L’effet placebo
Un avenir :
Ø Vers un avenir durable
Une complémentarité des deux médecines peut se faire soit par le recours aux deux types de médecine, soit par le mélange des deux médecines pour aider un patient. On peut remarquer que médecine chinoise et médecine occidentale se complètent, et possèdent des notions communes. Il existe même une technique thérapeutique appelée médecine complémentaire, ayant emprunté et mis en relation des notions provenant de ces deux médecines qui paraissaient pourtant totalement opposées, tant par leur histoire que par leur fonctionnement.
Mais le monde se rapproche petit à petit d’une osmose entre le deux, aux vues des bienfaits nouvellement découverts. Ainsi, des congrès sont organisés avec en ligne de mire, d’accélérer le rapprochement des deux.
« La complémentarité des pratiques : pour une approche globale de la santé », tel est le thème que va développer le congrès Ecomédecine. Cette manifestation professionnelle annuelle se situe au carrefour entre médecine allopathique et médecines dites douces : homéopathie, ostéopathie, acupuncture, phytothérapie, aromathérapie, psychothérapie, nutrition, médecine chinoise, médecine environnementale. A Paris, médecins, professionnels de santé et du monde paramédical débattront en particulier sur la place des médecines complémentaires dans le système de soins actuel. Ce congrès vise à encourager leur complémentarité et également à faire connaître ces types de médecine qui reste assez largement inconnue aux yeux des professionnels de la santé. Les sujets de ce congrès seront par exemple l’évolution de la demande des patients qui s’orientent de plus en plus vers ces médecines ; la prise en charge des médecins, ou l’organisation du secteur santé avec l’arrivée de plus en plus de jeunes médecins qui se dirigent vers ce type de spécialité médicale.
Parallèlement, onze conférences thématiques, présenteront des retours d’expériences, des études de cas et des résultats de pratiques, sur des différentes approches complémentaires, à l’hôpital ou en ville. Des médecins y ont relaté leurs expériences, permettant de se faire une idée concrète sur ces médecines peu connues encore.
Enfin, un espace exposition a permis de rencontrer les différents acteurs du secteur : laboratoires, matériel médical, financement de la santé, nutrition, cliniques, centres de formation. Cet espace ouvert au tout public permet aux non médecins de se faire une idée et d’évacuer les idées reçues sur les médecines dites douces.
Pour conclure, on voit que des efforts sont faits dans l’optique d’une complémentarité de ces médecines. Un exemple très flagrant de se rapprochement est que les cabinets d’ostéopathie sont devenus très courants, ou que l’on peut trouver de l’homéopathie dans presque toutes les pharmacies de France. Le Québec est d’ailleurs en avance avec le fait qu’ils aient déjà des médecins alternatifs, si on peut les appeler comme cela, intégrés dans la majorité de leurs hôpitaux. Alors pour quand cela en France ? On semble y venir petit à petit avec notamment ce congrès géants organisés pour sensibiliser les professionnels de la santé à une complémentarité prochaine entre les spécialités.
Ø Débats sur la médecine
Conclusion
Au Québec, les médecines alternatives sont particulièrement intégrées dans les hôpitaux et y côtoient les médecines dites officielles. Ainsi de vrais spécialistes en médecine douces sont salariés de l’hôpital et y travaille comme les médecins et les chirurgiens traditionnels.
Bibliographie
Periodique:
Marie-Catherine MERAT, Caroline TOURBE, Coralie Hancok. « Médecines alternatives : Celles qui marchent, celles qui ne marchent pas ». Science & Vie, Janvier 2015 n°1168, p50 à 68.
Web:
L’internaute. [En ligne] https://www.linternaute.com/
Homéopathie. [En ligne] https://www.xn--homopathie-d7a.com/
Wikipedia. [En ligne] https://wikipedia.com/
Le point : type de médecines [En ligne] https://www.lepoint.fr/dossiers/sante/medecines-alternatives/
medtc- monsite [En ligne] https://medtc.e-monsite.com/pages/iii-la-complementarite-des-deux-medecines/
canal académie [En ligne]
ouvertures.net [En ligne]